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Domaine d’intervention : appui technique à l’amélioration de la qualité des données SNIS et la surveillance, Suivi et évaluation du Paludisme

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Domaine d’intervention : appui technique à l’amélioration de la qualité des données SNIS et la surveillance, Suivi et évaluation du Paludisme

 Auteur/autrice: Johanna KAREMERE NZIGIRE  Pages: 21  Pays: République Démocratique du Congo  Langue: Français  File Size: 1,1 MB  Téléchargez
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La RDC figure parmi les 2 premiers pays fournisseurs des cas de paludisme et décès dus à cette endémie, en Afrique. Du point de vue morbidité, le rapport de l’OMS 2021 sur l’évolution du Paludisme stipule que la sous-région d’Afrique centrale a enregistré 54 millions des cas ont été enregistré, dont 96% de la charge mondiale est supporté par 29 pays et 6 pays africains – Nigeria (27%), RDC (12%), Ouganda (5%), Mozambique (4%), Angola (3.4%) et Burkina Faso (3.4%) – ont enregistré à eux seuls 55% de cas sur le plan mondial. Et l’incidence des cas était plus élevée en 2020 qu’en 2015 dans 15 pays de moins de 25 % au Tchad, au Congo, en Côte d’Ivoire, en République démocratique du Congo, en Guinée-Bissau, en estimés Namibie, au Nigeria, au Soudan du Sud et en Ouganda. Cependant, la mortalité palustre en République Démocratique du Congo tout comme dans 13 autres pays n’a pas connu des changements significatifs avec des décès à 140.100 estimés.

En même temps, le SCORE pour les données sanitaires 2022, qui un rapport de l’OMS sur la capacité des pays à produire les données sanitaires montre que la capacité des pays à disposer d’un système de gestion de l’information sanitaire performant est fonction de son niveau de revenu. Ainsi, ce rapport montré que 60 % des pays disposent d’une capacité bien développée ou durable à réviser les progrès et la performance de leur secteur de la santé et plus de la moitié ont une capacité bien développée. La RDC est classée parmi les pays à faible revenu. Ce rapport stipule que, la RDC a une capacité limitée à : surveiller les populations et le risque pour la santé, à optimiser les données des services de santé et celle à encourager l’utilisation des données pour définir les politiques et les actions, tandis que la capacité de de comptabiliser les naissances, les décès et les causes de décès y est encore naissante ; et seule la capacité à réviser le progrès et la performance qui est modérée.

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