Toutes les structures collectent, compilent et exploitent les données pour développer leurs activités dans divers domaines. Cependant, le monde et la science ont leurs données propres qui se touchent, mais qui ne se pénètrent pas.
La production des données de faible qualité est issue généralement des erreurs humaines et techniques pouvant amener à des lourdes conséquences avec risque de ne pas atteindre le but et contribuer négativement aux réalisations du programme par l’utilisation des ressources additionnelles et des pertes en vies humaines pourtant évitables.
La mission de 6 jours a eu pour objectif général de contribuer à l’amélioration de la qualité des données à travers la connaissance des facteurs qui entachent la qualité de la production et l’utilisation des données dans les Zones de santé en vue de proposer des stratégies d’amélioration.
Conduite en un seul pool par un binôme constitué d’un EPP de la DPS et du CP PMM, l’évaluation a été conduite dans 6 sites de prestation dont 2 centre de santé, 2 centres de santé de référence et 2 hôpitaux généraux de référence des zones de santé en raison de 3 points de prestation pour chacune des 2 zones de santé (Manika et Lualaba) à l’aide de l’outil MRDQA dont voici les résultats clés :
vérifier les données ;
la base ;
curatives et DHIS2) ;
ratio sur l’ensemble de celles identifiées.
Rapport MRQA, T4 2021_Lualaba 1
en tête avec 100% de positivité ;
SNIS ;
particulier (outils de gestion mal tenus et non à jour dans la plu part des FOSA évaluées) ;
et dans le registre des consultations curatives.
Comme dit dans les éditions précédentes, l’amélioration de la qualité des données reste un processus inclusif dont le succès demande l’implication de tous les acteurs et parties prenantes à différents niveaux.